Il y a longtemps, un simple homme vivait heureux avec sa famille à élever des bouftouts. Il vendait leur laine aux aventuriers à soif d'aventure qui voulait se préparer au combat en s'habillant avec cette dernière. Ce genre de vie était, selon lui, un vrai suicide. Rien n'était plus sur que de vivre paisiblement, sans chercher gloire ou fortune au combat. Cependant, sans le savoir, chaque jour le rapprochait de son propre suicide. En effet, ses produits gagnaient en renommé. Sa laine était fortement convoité, et un jour, le malheur des combats frappa son toît. Frappa son toît de façon littéral bien entendu. Ce jour là il revenait de ville seul, et que fut sa colère et sa détresse que de voir à la place de sa maison, un énorme dragon noir. Sa famille avait entièrement succombé, son bétail était décimé. Et ce fut dans un élan de désespoir, qu'avec son unique bâton de berger, il attaqua le dragon noir : Grougalorasalar. Beaucoup de guerrier aurait été honoré de mourir par les flammes du dragon Fuligineux, celui qui donna par la suit naissance au dofus ébène. Mais lui fut hanté par la vengeance même par delà sa mort. Son âme fut brisée, sa haine et sa soif de vengeance devinrent alors une part même de son essence. Et cette dernière erra sans corps dans le monde des 12 pour prendre son dut, la famille du dragon. Ce ne fut que longtemps après sa mort, que ce berger put revenir au monde. Ses années de solitude et de rancœur, le rendirent fou. Si fou que jamais un seul hôte ne put l'accepter. L'unique personne qui accpeta de prendre son âme vengeresse en lui, fut l'être le plus candide et gentil du monde des 12. Ce caractère angélique surplombait tellement l'envie de vengeance du fantôme, qu'il pouvait vivre tranquillement. Cependant, dès que le bien s'endormait, le mal faisait des ravages. Le sang coulait, l'homme s'entraînait, et il continue encore. Donc si dans la nuit vous percevez au loin une forme cornu au grand sourire couvert de laine, n'attendez pas de voir s'il s'agit du bouftout rieur et priez pour que ce ne soit pas Scyzophrenios qui fait de doux rêves.